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L'institution

Le Bureau fédéral du Plan (BFP) est un organisme indépendant d'intérêt public. Il réalise des études et des prévisions sur des questions de politique économique, sociale, environnementale et leur intégration dans une perspective de développement durable.

Marie Vandresse

En tant que responsable des perspectives démographiques, Marie Vandresse utilise son expertise acquise dans les domaines de la démographie et des méthodes de projection pour étudier l’évolution des composantes de la croissance de la population (naissances, décès et migrations internes et internationales) et leurs impacts sur l’évolution démographique future de la Belgique. Elle étudie également  l’évolution future du nombre de ménages en Belgique, élément complémentaire à l’évolution de la population quand il s’agit de déterminer, notamment,  les besoins futurs en termes de logements, mobilité ou encore les besoins énergétiques.

Elle est également membre du Conseil d’Administration de la Société démographique francophone de Belgique et membre de la Vlaamse Vereniging voor Demografie.

 

Coordonnées

Equipes

  • Protection sociale, démographie et prospective

CV & Publications

  • Révision à la baisse de l’hypothèse de fécondité à long terme

    L’évolution future de la population dépend notamment du nombre moyen d’enfants par femme qui influence à son tour le nombre de naissances. Le nombre moyen d’enfants par femme est en diminution depuis plus de 10 ans, passant de 1,86 enfant par femme en 2008 à 1,52 en 2022. Ceci s’explique notamment par un report des naissances en période de crise(s), mais aussi par une diminution du nombre d’enfants souhaités par les couples suite à l’évolution sociétale. Par conséquent, le Bureau fédéral du Plan a revu à la baisse l’hypothèse de fécondité retenue depuis 2020 dans ses projections démographiques. La croissance positive de la population résidant en Belgique d’ici à 2070 est cependant maintenue. Au niveau régional, la croissance annuelle de la population reste également positive dans la Région Flamande sur l’ensemble de la période de projection (jusque 2070). Par contre, ce n’est pas le cas pour la Région wallonne (à partir de 2045) et la Région de Bruxelles Capitale (à partir de 2035).

    Article 019 [13/02/2024]
  • À partir de la fin des années 2040, la croissance de la population reste positive seulement en région flamande

    Le nombre d’habitants en Belgique continue d’augmenter dans les prochaines années, en moyenne de 25 000 habitants supplémentaires par an jusqu’en 2070 (une hausse de 10% entre 2023 et 2070). Au niveau régional, les évolutions sont contrastées. La population de la région de Bruxelles-Capitale diminue de 4% entre 2023 et 2070. En région wallonne, la croissance de sa population est très faible entre 2023 et 2070, soit 2% ; avec une croissance négative à partir de la fin des années 2040. La croissance reste plus dynamique en région flamande, à savoir une augmentation de 17% du nombre d’habitants à l’horizon 2070.

    SHORT_DP23 [13/02/2024]
  • Conséquences de la guerre en Ukraine : croissance démographique en Belgique exceptionnelle en 2022 et incertitudes à moyen terme

    Alors que l’augmentation du nombre d’habitants en Belgique en 2022 s’avère exceptionnellement élevée (+104 000 habitants) selon les nouvelles projections démographiques, l’augmentation à long terme est moins dynamique que celle observée sur les trente dernières années. La population flamande garde cependant une croissance relativement comparable à celle mesurée sur les dernières décennies. La Wallonie se caractérise par une croissance nettement plus faible qu’avant. À Bruxelles, la population n’augmentera pratiquement pas en projection. 

    SHORT_DP22 [31/01/2023]
  • Perspectives démographique 2021-2070 - Update : nette révision à la hausse de la croissance de la population en 2022 suite à la guerre en Ukraine

    Près de 43 000 demandes de protection temporaire ont été enregistrées à la date du 20 mai en Belgique depuis le début de la guerre en Ukraine. Il est donc quasi acquis que la croissance démographique en 2022 sera impactée par cet afflux de réfugiés. Le Bureau fédéral du Plan a mis à jour sa projection démographique de février en vue des perspectives économiques qui seront publiées le 17 juin prochain. Cette révision table sur 83 000 réfugiés en provenance d’Ukraine en 2022. Dans un contexte qui reste incertain, la croissance attendue pour 2022 s’établirait à 133 000 habitants, au lieu des 50 000 projetés lors de l’exercice précédent. Étant donné le statut de protection temporaire de ces migrants qui leur octroie une autorisation de séjour limitée dans le temps, le scénario fait l’hypothèse que 80 % de ces migrants quitteront la Belgique durant la période 2023-2024. La croissance démographique à long terme n’est donc pas impactée.

    FOR_DEMO21_UPD_2201 [09/06/2022]
  • Perspectives démographiques 2021-2070 : Hausse de 1,3 million d’habitants d’ici à 2070, par rapport à 1,5 million durant les 30 dernières années. La crise sanitaire n’influence pas cette croissance

    La crise sanitaire a affecté la croissance démographique de la Belgique en 2020, mais dans une moindre mesure qu’envisagé dans les Perspectives de l’an dernier. En particulier, les migrations internationales ont été peu influencées par les restrictions à la mobilité internationale. Ces dernières étant pour la plupart levées, les flux migratoires ne devraient plus être contraints par la pandémie. Le premier confinement de 2020 est caractérisé par une baisse temporaire des conceptions (peu de naissances 9 mois plus tard), lesquelles repartent à la hausse dès la fin de ce premier confinement et se concrétisent par une hausse de la natalité en mars-avril 2021. De manière plus globale, la crise sanitaire ne devrait pas avoir de conséquences sur les tendances de fond en matière de fécondité, mortalité et migration, et par conséquent sur la croissance démographique à long terme.

    Flash 002 [08/02/2022]
  • Fact sheet 007 : Fécondité et naissances en Belgique selon l’origine

    La nouvelle statistique de population selon l’origine publiée par Statbel a permis au BFP de calculer la fécondité selon l’origine et de présenter les naissances selon l’origine de la mère. En Belgique, le nombre moyen d’enfants par femme en 2020 est de 1,54. Ce nombre varie de 1,38 pour les Belges d’origine belge, à 1,58 pour les Belges d’origine étrangère et à 2,05 pour les femmes de nationalité étrangère. Sur l’ensemble des enfants nés en 2020, 52,3 % avaient une mère belge d’origine belge, 22,8 % avaient une mère belge d’origine étrangère et 24,9 % avaient une mère de nationalité étrangère.

    Fact Sheet 007 [17/12/2021]
  • Fact Sheet 005 : Belgique – surmortalité en 2020 : 124 000 années de vie perdues

    La surmortalité en 2020 est estimée à 16 000 décès. Ces 16 000 personnes ont perdu ensemble 124 000 années de vie vu leur espérance de vie, soit 7,7 ans en moyenne par personne. Ces valeurs obtenues semblent montrer que la COVID-19 n’aurait pas entrainé uniquement la mort des personnes les plus fragiles qui seraient décédées, en l’absence de l’épidémie, dans les semaines ou mois qui suivent.

    Fact Sheet 005 [10/05/2021]
  • Perspectives démographiques 2020-2070 - Scénario de référence et variantes

    Cette publication présente les principaux résultats des perspectives démographiques pour la Belgique : population, ménages, naissances, décès, migrations internationales et migrations internes.  Afin de mettre en avant la sensibilité des résultats à certaines hypothèses retenues, trois scénarios alternatifs y sont analysés : l’un lié à la crise sanitaire (Covid-19), un autre modifiant l’hypothèse de mortalité à long terme et un dernier adaptant l’hypothèse relative à l’émigration internationale.

    FOR_POP2070_12389 [31/03/2021]
  • COVID-19 : faible croissance de la population en 2020 et 2021. Le vieillissement de la population reste présent à long terme

    Les perspectives démographiques 2020-2070 présentent l’évolution de la population et des ménages en Belgique de 2020 à 2070.  Outre la mise à jour des tendances démographiques futures, le présent exercice repose sur un scénario spécifique lié à la pandémie de la COVID-19. La croissance de la population en 2020 et 2021 sera très modérée, en particulier suite à l’impact de COVID sur la mortalité et la migration internationale. À long terme, la population en Belgique augmentera en moyenne de 25 000 habitants par an, pour atteindre 12,8 millions d’habitants en 2070.

    FOR_DP20_12326 [19/01/2021]
  • Modélisation de la fécondité dans les projections de population – Le cas de la Belgique

    Ce Working Paper présente la méthodologie qui est appliquée depuis 2020 dans le modèle utilisé pour élaborer les perspectives de population pour la Belgique. Cette méthodologie considère que la fécondité est déterminée à la fois par des facteurs structurels (la formation, la participation au marché du travail, etc.) et conjoncturels (le cycle économique, etc.).  Ces facteurs sont pris en compte par le biais de trois canaux : (1) l’avis d’experts sur l’évolution à long terme de la fécondité, (2) l’évolution du calendrier de la fécondité et (3) les effets de déterminants conjoncturels et structurels de la fécondité estimés à l’aide d’un modèle à correction d’erreur.

    Working Paper 03-20 [12/10/2020]
  • Peut-on agir sur le vieillissement des prochaines années à travers des politiques démographiques ?

    La société devra plutôt s’adapter au vieillissement démographique.

    Article 003 [08/09/2020]
  • Fact Sheet 004 : Et si le vieillissement m’était « compté » autrement ?

    On reli(e)rait alors l’âge de la vieillesse non pas au nombre d’années déjà vécues, mais au nombre d’années restant à vivre.

    Fact Sheet 004 [08/09/2020]
  • Perspectives démographiques 2019-2070. Mise à jour dans le cadre de l’épidémie de COVID-19

    Les perspectives démographiques 2019-2070 ont été publiées début mars 2020, juste avant l’arrivée des premiers signes de la présence de la COVID-19 sur le territoire belge. Au regard de l’évolution de l’épidémie et des mesures prises par le Conseil National de Sécurité (CNS) concernant la gestion de la propagation de la COVID-19, une mise à jour de ces perspectives semblait incontournable.

    Dans cette mise à jour, seules les hypothèses de mortalité et de migration internationale ont été adaptées. Par manque d’information sur l’impact de l’épidémie sur la fécondité et les migrations internes, ces composantes n’ont pas été mises à jour.

    REP_POP1970 [02/06/2020]
  • Perspectives démographiques 2018-2070 - Population et ménages

    Les perspectives démographiques 2018-2070 présentent l’évolution de la population et des ménages en Belgique de 2018 à 2070. Les hypothèses ont été mises à jour en tenant compte des nouvelles observations disponibles, en particulier les statistiques de population au 1er janvier 2018 et les statistiques de mouvements (naissances, décès, migrations internes et internationales) au cours de l’année 2017. Ces perspectives apportent également un éclairage spécifique sur la fécondité à moyen terme

    EFPOP1870 [24/01/2019]
  • Multiregional Population Projection Model at the EU level

    Cette étude explore la possibilité de construire un modèle de projection multirégional au niveau de l’Union européenne à l’aide des statistiques d’Eurostat sur la migration.  Ces statistiques sont utilisées pour construire une matrice origine-destination cohérente pour les pays de l’Union européenne (UE). Cette cohérence requiert que la somme de tous mouvements intra-européens soit égale à 0. La matrice ainsi construite permet de calculer les taux de migration entre pays de l’UE, lesquels sont ensuite introduits dans un modèle de projection de population multirégional.

    Les résultats obtenus indiquent que les statistiques publiées par Eurostat sur la migration peuvent être utilisées pour construire un modèle multirégional au niveau de l’Union européenne. La méthodologie présentée dans ce working paper fournit en effet des résultats prometteurs qui nous encouragent à poursuivre les efforts de modélisation. 

    Working Paper 07-18 [08/06/2018]
  • Perspectives démographiques 2017-2070 - Population et ménages

    Le Bureau fédéral du Plan publie ses projections démographiques 2017-2070 pour la Belgique. Cet exercice fait notamment apparaître les effets de la disparition de la génération du baby-boom ainsi que certaines différences régionales.

    EFPOP1770 [22/02/2018]
  • Perspectives démographiques 2016-2060 : analyses de sensibilité, scénarios alternatifs et effets budgétaires et sociaux

    Ce Working Paper analyse plusieurs variantes des projections démographiques. La première approche met en évidence l’impact de scénarios alternatifs d’évolution future des composantes de la croissance de la population. L’impact de certains de ces scénarios sur l’évolution des dépenses sociales et le taux de risque de pauvreté des pensionnés est également analysé. La seconde approche consiste à réaliser une analyse de sensibilité de la projection démographique à certains paramètres du modèle, en particulier les périodes d’observations retenues pour estimer des tendances futures.

    Working Paper 01-18 [05/02/2018]
  • Perspectives démographiques 2016-2060 - Population et ménages

    Ces perspectives démographiques présentent l’évolution de la population et des ménages en Belgique de 2016 à 2060. Dans un premier temps, ce document présente le scénario retenu pour réaliser ces perspectives. Dans un second temps, les principaux résultats sont présentés pour la Belgique, les régions et les arrondissements.

    EFPOP1660 [07/03/2017]
  • Projection of internal migration based on migration intensity and preferential flows

    Ce document de travail présente la méthodologie de projection utilisée pour les migrations internes, qui est intégrée depuis 2016 dans les perspectives de population publiées par le Bureau fédéral du Plan et la Direction générale Statistique. La méthodologie se fonde sur l’intensité migratoire entre arrondissements plutôt que sur les taux d’émigration d’un arrondissement à l’autre. En ce qui concerne l’intensité migratoire, non seulement la population de l’arrondissement de départ est prise en considération (population susceptible de migrer), mais également la population de l’arrondissement de destination (comme proxy de l’attractivité). L’évolution à court terme de l’intensité migratoire poursuit les dernières tendances observées pour les flux migratoires préférentiels entre arrondissements. L’intensité migratoire est supposée constante à long terme.

    Working Paper 10-16 [20/10/2016]
  • Les espérances de vie/de santé selon le statut socio-économique - Revue de la littérature

    Ce rapport présente une revue (non exhaustive) de la littérature sur les études permettant d’apporter un éclairage quant à l’impact du statut socio-économique sur les espérances de vie et les espérances de santé.

    REP_CEP_03 [25/09/2015]
  • Perspectives économiques 2015-2020

    Les « Perspectives économiques 2015-2020 » annoncent une reprise de la croissance de l’économie belge. Bien que relativement modeste (1,5 % en moyenne annuelle), cette croissance irait de pair avec une progression assez soutenue de l’emploi (près de 34 000 par an en moyenne). Le poids économique de l’ensemble des administrations publiques, notamment en termes d’emploi, serait en recul, ce qui contribue, avec la baisse des charges d’intérêt, à la réduction très significative du déficit public, qui s’établirait à 1,1 % du PIB à l’horizon 2020.

    Economic outlook 2015-2020 [12/05/2015]
  • Perspectives économiques 2015-2020 - Version de mars 2015

    Ce rapport constitue une contribution à la préparation du nouveau Programme de Stabilité et du nouveau Programme National de Réforme (PNR). Il reprend les principaux résultats de la version préliminaire des « Perspectives économiques 2015-2020 » qui seront publiées en mai 2015.

    Economic outlook 2015-2020 0 [19/03/2015]
  • Une modélisation de l’évolution future de la migration internationale pour la Belgique

    Ce Working Paper présente les avancées méthodologiques réalisées dans le cadre de l’évolution future de la migration internationale. La nouvelle méthodologie se base notamment sur une analyse des flux migratoires par nationalité et des statistiques relatives aux motifs de migration pour déterminer la pertinence de variables économiques comme déterminant de la migration. Dans l’affirmative, l’impact des déterminants économiques sur l’immigration est estimé à l’aide de méthodes économétriques. La méthodologie tient également compte d’un contexte de mondialisation et de mobilité à la hausse ainsi que d’une croissance attendue de la population mondiale qui favorisent les flux migratoires (immigration et émigration) internationaux. Enfin, elle rend les projections à long terme de la migration, et par conséquent de la population, plus stables ; les révisions annuelles de la migration à long terme seront moins dépendantes de l’évolution des flux migratoires de court terme.

    Working Paper 02-15 [18/03/2015]
  • Perspectives démographiques 2014-2060 - Population, ménages et quotients de mortalité prospectifs

    Le Bureau fédéral du Plan et la Direction générale Statistique et Information économique ont mis à jour leurs perspectives démographiques à l’horizon 2060. La population du Royaume passe de 11,2 millions en 2014 à 11,9 millions en 2030 (soit + 7%) et 13,1 millions en 2060 (soit +17%).  Le nombre de ménages privés au niveau du Royaume passe de 4,8 millions en 2014 à 5,3 millions en 2030 (soit +10%) et à 5,9 millions en 2060 (soit +23%).

    Ces résultats se basent sur un ensemble d’hypothèses relatives aux évolutions futures de la natalité, la mortalité et la migration internationale et interne ainsi que, pour les ménages, l’évolution des différentes formes de vie commune.

    Un chapitre de la publication est également consacré aux quotients de mortalité prospectifs, permettant de projeter les espérances de vie « du moment » (approche transversale) et les espérances de vie « générationnelle » (approche longitudinale).

    EFPOP1460 [17/03/2015]
  • Une méthodologie de projection des ménages : le modèle HPROM (Household PROjection Model)

    Ce Working Paper présente la méthodologie utilisée actuellement par le Bureau fédéral du Plan pour l’élaboration des perspectives de ménages à l’horizon 2060 en Belgique. La méthodologie retenue permet de réaliser des projections détaillées du nombre de ménages (au niveau des arrondissements) selon le type de ménages, en fonction de la situation de fait et non de la situation de droit. Les perspectives intègrent ainsi les différentes formes de vie commune telles que la cohabitation, les familles monoparentales, les ménages isolés (« d’une personne »).... Elles assurent également la cohérence avec les projections nationales de population publiées par le Bureau fédéral du Plan et la Direction générale Statistique depuis plusieurs années et réalisées à l’aide de la méthode dite des composantes.

    Working Paper 09-14 [20/11/2014]
  • Perspectives démographiques 2013-2060 - Population, ménages et quotients de mortalité prospectifs

    Le Bureau fédéral du Plan et la Direction générale Statistique et Information économique ont mis à jour leurs perspectives démographiques à l’horizon 2060. La population du Royaume passe de 11,1 millions en 2013 à 11,9 millions en 2030 (soit + 7%) et 12,5 millions en 2060 (soit +13%).  Le nombre de ménages privés au niveau du Royaume passe de 4,8 millions en 2013 à 5,3 millions en 2030 (soit +11%) et à 5,8 millions en 2060 (soit +21%).

    Ces résultats se basent sur un ensemble d’hypothèses relatives à l’évolution future de la natalité, la mortalité et la migration internationale et interne ainsi que, pour les ménages, l’évolution des différentes formes de vie commune.

    Un chapitre de la publication est également consacré aux quotients de mortalité prospectifs, permettant de projeter les espérances de vie « du moment » (approche transversale) et les espérances de vie « générationnelle » (approche longitudinale).

    EFPOP1360 [18/03/2014]
  • A l’horizon 2060, d’après les perspectives démographiques, la Belgique comptera 1,4 million d’habitants supplémentaires et 1 million de ménages supplémentaires

    Le Bureau fédéral du Plan et la Direction générale Statistique et Information économique ont mis à jour leurs perspectives démographiques à l’horizon 2060. Sur l’ensemble de la période de projection, l’immigration internationale connaît une évolution à la baisse mais reste le principal facteur de croissance de la population au niveau du Royaume. A court terme, l’immigration issue des pays du sud de l’Union Européenne des 15 resterait affectée par la crise économique et financière. L’impact des mesures prises en 2011 relatives au regroupement familial et aux séjours pour motifs humanitaires et médicaux continuerait à influencer à la baisse l’immigration en particulier issue des pays non européens. Suite à une diminution de leur taille moyenne, le nombre de ménages en Belgique connaît une croissance à long terme plus rapide que celle de la population.

    Press 20140318 [18/03/2014]
  • Joint Eurostat/UNECE Work Session on Demographic Projections : "A household projection model for Belgium based on individual household membership rates"

    Since many years, Statistics Belgium (Directorate General Statistics and Economic Information - DGSEI) and the Belgian Federal Planning Bureau (FPB) have annually produced official population projections for Belgium at the NUTS3 level used by official Belgian institutions and in several short-, medium-, and long-term projection models (such as economic projections, income poverty, long-term healthcare expenditures, energy, transport) and for specific projects or demands. Aside from these official population projections, interest for household projections is growing. Indeed, understanding the population in this dimension is very useful for numerous aspects of social life (expansion of single-parent households - often mothers - or of isolated households with old persons who are at higher risk of poverty problems or short of support) and of economic life (impact on consumption, taxation, housing, mobility, etc). To do so, a household projection model for Belgium, calibrated on the Belgian population projection at the NUTS 3 level, is under development. The objective of this paper is to describe the model and to present the provisional results.

    SP131029 [29/10/2013]
  • Impact sur l’environnement de l’évolution de la demande de transport à l’horizon 2030

    Le Bureau fédéral du Plan et le SPF Mobilité et Transports ont publié en septembre 2012 une nouvelle projection de référence de l’évolution à long terme de la demande de transport en Belgique (BFP et SPF M&T, 2012). Outre l’évolution du transport de personnes et de marchandises ainsi que de son coût, cette projection présente des perspectives d’évolution des émissions des gaz à effet de serre ainsi que des principaux polluants libérés par le transport et calcule le coût environnemental de ces émissions. Les calculs ont été réalisés en collaboration avec le VITO dans le cadre des projets LIMOBEL et PROLIBIC, tous deux financés par la Politique scientifique fédérale.

    Le présent Working Paper présente la méthodologie appliquée pour évaluer l’impact du transport sur l’environnement, ainsi qu’une analyse détaillée de l’évolution des émissions de CO2, NOx et PM2,5 libérées par le transport à l’horizon 2030. Cette analyse détaillée comprend notamment une analyse de décomposition permettant de mettre en évidence les différents facteurs explicatifs de cette évolution.

    Working Paper 11-12 [18/09/2012]
  • Perspectives de l’évolution de la demande de transport en Belgique à l’horizon 2030

    Dans le cadre dʹun accord de collaboration entre le Bureau fédéral du Plan et le SPF Mobilité et Transports, le Bureau fédéral du Plan réalise tous les trois ans des perspectives à long terme de l’évolution de la demande de transport en Belgique. Cet exercice permet d’élaborer une projection à politique inchangée permettant de dégager les tendances générales à long terme, de détecter les éléments  susceptibles de fonder une politique de transport et d’étudier l’impact de politiques de transport.

    Le fichier ci-joint tient compte de la correction de deux erreurs : l’une au tableau 28, l’autre au tableau 30. Ces modifications ne changent en rien les conclusions générales de l’étude.

    FORTRANSP_01 [17/09/2012]
  • A computable general equilibrium for Belgium with a special focus on transport policies

    Le présent document vise à étendre le modèle PLANET afin d’endogénéiser l’impact du secteur des transports sur l’économie. A cette fin, les données issues du modèle PLANET, relatives au transport des marchandises et des ménages pour l’année 2003, sont incorporées dans un modèle d’équilibre général statique de l’économie belge. Les ménages utilisent les transports pour les trajets domicile-lieu de travail et pour leurs loisirs, tandis que les secteurs de production recourent au transport de marchandises comme input. Des effets de rétroaction importants sur les coûts de transport généralisés sont pris en compte via la congestion. Pour illustrer le modèle, les effets d’une taxe kilométrique appliquée exclusivement sur le transport de marchandises sont comparés à une taxe kilométrique appliquée également sur le transport des ménages.

    Working Paper 12-11 [25/08/2011]
  • Analyse de politiques de transport : rapprochement des accises sur les carburants et Eurovignette III

    L’objectif de l’étude est d’analyser l’impact de deux types de politiques de prix dans le secteur des transports à l’aide du modèle PLANET. Les deux types de politiques sont (1) un rapprochement des accises sur l’essence et le diesel et (2) une taxe routière pour les camions selon la proposition de directive européenne Eurovignette III. Les effets étudiés sont les conséquences sur l’activité de transport des personnes et des marchandises, l’impact sur l’environnement et l’impact sur le bien-être de la société. Pour les deux types de politiques, l’impact sur le budget public est neutralisé soit via la fiscalité générale, soit via la fiscalité sur le travail.

    Working Paper 02-11 [27/01/2011]
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