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Publications
Dans un souci de transparence et d’information, le BFP publie régulièrement les méthodes et résultats de ses travaux. Les publications sont organisées en séries, entre autres, les perspectives, les working papers et planning papers. Certains rapports peuvent également être consultés ici, de même que les bulletins du Short Term Update publiés jusqu’en 2015. Une recherche par thématique, type de publication, auteur et année vous est proposée.
Conformément au Règlement européen n° 691/2011 (modifié par Règlement européen n° 538/2014), les États membres de l’Union européenne sont tenus de fournir six comptes économiques de l’environnement à Eurostat à partir de 2017. Il s’agit des trois comptes qui doivent être transmis depuis 2013, à savoir les comptes des taxes environnementales par activité économique (Environmental Taxes by Economic Activity, ETEA), les comptes des émissions atmosphériques (Air Emissions Accounts, AEA) et les comptes des flux de matières à l’échelle de l’économie (Economy-Wide Material Flow Accounts, EW-MFA), mais aussi des trois comptes qui doivent être fournis à partir de 2017, à savoir les comptes du secteur des biens et services environnementaux (Environmental Goods and Services Sector, EGSS), les comptes des dépenses de protection de l'environnement (Environmental Protection Expenditure Accounts, EPEA) et les comptes des flux physiques d'énergie (Physical Energy Flow Accounts, PEFA).
L’institut des comptes nationaux (ICN) présente, dans cette publication, les comptes des flux physiques d'énergie pour la période 2014-2015.
Autres publications - REP_PEFA2017_11551 (fr), (fr), (nl), (nl),
L’attribution traditionnelle de la responsabilité pour les émissions de gaz à effet de serre (GES) au pays producteur est susceptible d’être biaisée par les flux de commerce international. En effet, les importations de produits intensifs en émissions contribuent à réduire les émissions d’un pays liées à la production. Ce constat a motivé le calcul de l’empreinte carbone, qui mesure le volume d’émissions domestiques et étrangères de GES contenus (directement et indirectement) dans les produits destinés à la consommation finale des habitants d’un pays. Ce working paper présente des estimations de l’empreinte carbone de la Belgique basées sur des tableaux entrées-sorties multi-pays mondiaux rendus cohérents avec les comptes nationaux détaillés de la Belgique. D’après nos calculs, l’empreinte carbone de la Belgique dépasse nettement ses émissions liées à la production, ce qui signifie que la Belgique est un importateur net d’émissions de GES. De plus, nos résultats montrent que la cohérence avec les comptes nationaux détaillés revêt une grande importance pour le calcul de l’empreinte carbone sur la base de tableaux multi-pays, surtout pour une petite économie ouverte comme la Belgique.
Working Papers - Working Paper 10-17 (en),
Conformément au règlement européen n° 691/2011, les Etats membres de l’Union européenne sont tenus d’établir en 2013 trois comptes économiques de l’environnement. Il s’agit des comptes relatifs aux taxes environnementales par activité économique, des comptes des émissions atmosphériques et des comptes des flux de matières à l’échelle de l’économie. L’Institut des comptes nationaux (ICN) présente, dans cette publication, les comptes EW-MFA pour la période 2010-2014.
Autres publications - EWMFA 2016 (fr), (nl),
Conformément au règlement européen n° 691/2011, les Etats membres de l’Union européenne sont tenus d’établir depuis 2013 trois comptes économiques de l’environnement. Il s’agit des comptes relatifs aux taxes environnementales par activité économique, des comptes des émissions atmosphériques et des comptes des flux de matières à l’échelle de l’économie.
L’Institut des comptes nationaux (ICN) présente, dans cette publication, les comptes relatifs aux taxes environnementales par activité économique pour la période 2010-2014.
Autres publications - ETEA 2016 (fr), (nl),
Conformément au règlement européen n° 691/2011, les Etats membres de l’Union européenne sont tenus d’établir en 2013 trois comptes économiques de l’environnement. Il s’agit des comptes relatifs aux taxes environnementales par activité économique, des comptes des émissions atmosphériques et des comptes des flux de matières à l’échelle de l’économie.
L’institut des comptes nationaux (ICN) présente, dans cette publication, les comptes des émissions atmosphériques pour la période 2010-2014.
Autres publications - AEA 2016 (fr), (nl),
L’Institut des comptes nationaux (ICN) présente, dans cette publication, les comptes EW-MFA pour la période 2009-2013.
Autres publications - EWMFA 2015 (fr), (nl),
L’Institut des comptes nationaux (ICN) présente, dans cette publication, les comptes relatifs aux taxes environnementales par activité économique pour la période 2008-2013.
Autres publications - ETEA 2015 (fr), (nl),
L’institut des comptes nationaux (ICN) présente, dans cette publication, les comptes des émissions atmosphériques pour la période 2009-2013.
Autres publications - AEA 2015 (fr), (nl),
L’Institut des comptes nationaux (ICN) présente, dans cette publication, les comptes EW-MFA pour la période 2008-2012.
Autres publications - EWMFA 2014 (fr), (nl),
L’Institut des comptes nationaux (ICN) présente, dans cette publication, les comptes relatifs aux taxes environnementales par activité économique pour la période 2008-2012.
Autres publications - ETEA 2014 (fr), (nl),
L’institut des comptes nationaux (ICN) présente, dans cette publication, les comptes des émissions atmosphériques pour la période 2008-2012.
Autres publications - AEA 2014 (fr), (nl),
L’Institut des comptes nationaux (ICN) présente, dans cette publication, les comptes EW-MFA pour la période 2008-2011.
Autres publications - EWMFA 2013 (fr), (nl),
Au cours des deux dernières décennies, la tendance à la libéralisation du commerce international s’est poursuivie et dans le même temps les réglementations environnementales ont été rendues plus strictes, en particulier celles concernant les émissions de gaz atmosphériques. Ceci fait craindre, dans les pays industrialisés, que des activités intensives en émissions soient de plus en plus réalisées à l’étranger. Cette étude propose une approche pour tester si des branches d’activité intensives en émissions ont plus recours à des biens intermédiaires importés. Ce test est appliqué à l’industrie manufacturière belge pour les années 1995 à 2007. Trois types d’émissions atmosphériques sont pris en compte : les gaz à effet de serre, les substances acidifiantes et les précurseurs d’ozone troposphérique. Selon les résultats, les branches d’activité intensives en émissions de substances acidifiantes (SO2, NOX and NH3) ont tendance à importer plus de bien intermédiaires. Cela reflète la mise en application plus stricte des réglementations en matière de qualité de l’air qui concerne directement les émissions de substances acidifiantes. Par contre, ce n’est pas le cas pour les émissions de précurseurs d’ozone troposphérique et surtout pour les gaz à effet de serre. Pour cette dernière catégorie, même si les réglementations paraissent sévères, leur mise en application semble moins stricte.
Working Papers - Working Paper 12-13 (en),
L’Institut des comptes nationaux (ICN) présente, dans cette publication, les comptes relatifs aux taxes environnementales par activité économique pour la période 2008-2011.
Autres publications - ETEA 2013 (fr), (nl),
L’institut des comptes nationaux (ICN) présente, dans cette publication, les comptes des émissions atmosphériques pour la période 2008-2011.
Autres publications - AEA 2013 (fr), (nl),
La présente étude propose une analyse de décomposition pour mesurer la contribution des délocalisations à la baisse d’intensité en émissions dans l’industrie manufacturière. L’intensité en émissions est mesurée comme la quantité d’émissions par unité d’output. Les changements de l’intensité en émissions sont décomposés en quatre termes : un effet technologique qui mesure la contribution de changements dans la technologique de production, un effet d’efficacité qui mesure la contribution d’une plus grande efficacité dans l’utilisation des biens intermédiaires, un effet de délocalisation qui mesure la contribution de la substitution de biens intermédiaires domestiques par des importations et un effet de composition qui intègre les modifications dans la structure de la production. Les données pour le calcul des intensités en émissions et des termes de la décomposition proviennent de deux bases de données du Bureau fédéral du Plan : les comptes des émissions atmosphériques, d’une part, et une série temporelle de tableaux des ressources et des emplois à prix constants, d’autre part. L’analyse porte sur les trois types d’émissions atmosphériques (GES, ACID et TOFP) pour 23 branches d’activité manufacturières et couvre la période 1995-2007. Il en ressort que ce sont les changements de technologie de production (effet technologique) qui, de loin, contribuent le plus à la baisse de l’intensité en émissions des trois types de polluants atmosphériques. Les résultats montrent également que 27 % de la baisse d’intensité en émissions de gaz à effet de serre, 20 % de celle en émissions de substances acidifiantes et 20 % de celle en émissions de précurseurs de l’ozone troposphérique proviennent d’une augmentation des importations de biens intermédiaires (effet de délocalisation).
Working Papers - Working Paper 05-13 (en),
Exposés et présentations - ESA_2012_01 (en), (fr), (fr), (fr), (fr), (nl), (nl), (nl), (nl),
Le règlement européen (UE) n° 691/ 2011 impose à tous les Etats membres d’établir, chaque année à partir de 2013, trois comptes économiques de l’environnement et de les soumettre à Eurostat. Il s’agit des comptes des émissions atmosphériques (AEA), des comptes relatifs aux taxes environnementales (ETEA) et des comptes de flux de matières à l’échelle de l’économie (EW-MFA). Grâce aux projets- pilotes cofinancés par Eurostat, le Bureau fédéral du Plan a acquis, au cours des dix dernières années, une expertise dans la construction et l’analyse des AEA et ETEA. Il a en outre développé des comptes de la consommation d’énergie, qui présentent un lien direct avec les comptes des émissions atmosphériques, ainsi que des comptes de dépenses de protection de l’environnement (EPEA). La présente publication synthétise les résultats de ces quatre comptes de l’environnement. En ce qui concerne les EW-MFA, les résultats ne sont pas encore disponibles.
Séries clôturées - Planning Paper 111 (fr), (nl),
Since the start of 2012, tensions in money and bond markets have receded somewhat in most euro countries. Together with the recent uptick in most confidence indicators, this is expected to lead to a bottoming out of European GDP. Assuming the sovereign debt crisis does not intensify again, economic activity should gradually pick up in the second half of the year. Nonetheless, on a yearly basis, this implies negative euro area GDP growth of -0.3%, which is a substantial downward revision as compared to our September forecasts (1.2%). This scenario remains highly uncertain, with renewed turmoil in financial markets as the main risk.
Belgian economic growth amounted to 1.9% in 2011, although economic activity fell slightly during the second semester. In 2012, quarterly growth should remain very modest against the background of a gradual pick-up in the European business cycle and of the austerity measures already taken by the Belgian government. Economic activity ought to stabilize in 2012Q1, followed by a slight export-led upturn (up to qoq growth of 0.2% in 2012Q4). Economic growth should remain limited to 0.1% on a yearly basis.
Due to the lack of dynamism in the business cycle, job creation has stagnated since mid-2011 and should only slightly recover in the course of this year, leading to an average annual increase of 6 400 units in 2012. As a result, the harmonised unemployment rate (Eurostat definition) should rise from 7.2% in 2011 to 7.5% in 2012.
Our most recent inflation forecasts were finalised at the end of February. Belgian inflation, as measured by the yoy growth rate of the national consumer price index, should amount to 3.0% on average this year. This upward revision (compared to our 2.7% forecast at the end of January) is largely due to price increases for energy products as a result of higher oil prices.
STU 1-12 was finalised on 16 March 2012.
Séries clôturées - Short Term Update 01-12 (en),
Ce papier estime l’emploi cumulé (direct et indirect) généré par l’industrie environnementale belge. L’industrie environnementale a été analysée sur base des tables belges input-output pour l’année 2000 et de données détaillées d’emploi (matrice SAM). Pour ce faire, une distinction des travailleurs a été réalisée par leur caractère sexuel et leur niveau de formation ou une combinaison de ces deux caractéristiques. L’analyse de multiplicateur emploi fournit des différences intéressantes entre l’emploi dans l’industrie environnementale et l’emploi total de l’économie tant au niveau du caractère sexuel que du niveau de formation des individus.
Working Papers - Working Paper 13-09 (en),
Recent years have seen a growing interest in the economic potential of environmental protection activities. The protection of the environment necessitates the development, production and marketing of a host of environmentally friendly products and production processes, the development of the skills needed to use them, environmental legislation, an administration to keep track of these developments, etc. All these activities are provided for by the environment industry. This study investigates the development of the environment industry in Belgium between 1995 and 2005.
Articles - Article 2009100603
Cette étude présente un aperçu de l'évolution de la taille, de la composition et de l'importance économique de l'industrie de l'environnement en Belgique entre 1995 et 2005. Elle indique quelles branches industrielles sont concernées et quels domaines de l'environnement sont les plus importants pour notre industrie.
Working Papers - Working Paper 07-09 (en),
Pour contribuer à résoudre divers problèmes environnementaux d’envergure mondiale des objectifs de réduction d’émissions territoriales ont été fixés. Les objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre définis dans le cadre du Protocole de Kyoto en sont un exemple bien connu. Au niveau des entreprises, cela implique que les émissions sont liées à la production. Une telle approche peut amener certaines entreprises à estimer que le coût de ces réductions est trop élevé et à délocaliser partiellement ou complètement leur production polluante vers des pays où les exigences environnementales sont moins strictes. Ce phénomène de ‘fuite environnementale’ préoccupe de plus en plus la Communauté internationale.
Working Papers - Working Paper 19-08 (en),
The medium-term outlook for Belgium points towards an average GDP growth rate of 2.2% during the 2006-2011 period, which is slightly higher than potential (2.0%). This pace of growth should follow a slowdown in economic growth in 2005 (1.5%) and a rebound in 2006 (2.4%). Economic growth in Belgium should remain slightly higher than in the euro area, on average.
Despite moderate wage increases, the average yearly growth rate for private consumption should reach 1.8% during the 2006-2011 period, in particular because of the increase in household disposable income (stimulated especially by reductions in personal income tax and increases in employment and social benefits). Investment growth should reach 2.5% during the 2006-2011 period, mainly reflecting the path of business investment growth, but also an acceleration in public investment at the end of the projection period. Growth in exports should be 5.4% on average and the contribution of net exports to GDP growth is expected to be 0.3%-points. The external surplus, which was strongly reduced between 2002 and 2005, should increase again after 2007 and attain 3.2% of GDP in 2011 (partly as a result of the improvement of the terms of trade). Limited increases in wage costs, the decline in oil prices after 2007 and a negative output gap until the end of the projection period, should allow the inflation rate to remain below 2% in the medium term.
The expected evolution of employment reflects a favourable macroeconomic context, a limited increase in wage costs and various policy measures. After the net creation of approximately 39,000 and 41,000 jobs in 2005 and 2006 respectively, about 35,000 jobs should be created every year during the 2007-2011 period. Between 2005 and 2011, industrial employment should fall by 30,000 persons, but the number of jobs created in market services should exceed 250,000. Nevertheless, in view of the strong increase in the labour force (mainly in the 50-64 age class) the fall in unemployment will be limited to 38,000 persons. The unemployment rate (broad administrative statistics) should fall from 14.3% in 2005 to 13.1% in 2011.
Under the assumption of constant policy, public accounts are expected to deteriorate markedly, with a net public financing requirement of 0.3% of GDP appearing in 2006, widening to 1.2% in 2007, before gradually falling to 0.3% by the end of the projection period. Nevertheless, the total public debt to GDP ratio is still expected to decline from 93.9% in 2005 to 78.0% in 2011.
Séries clôturées - Short Term Update 02-06 (en),
Working Papers - Working Paper 05-05 (nl),